Qui suis-je ?
Être une lectrice-correctrice, ce n'est pas un hasard, c'est un métier.
Mon envie
Quand tu t'assoies avec envie devant ton bureau pour corriger le mémoire de ta grande sœur ; quand tu passes un agréable moment à corriger bénévolement les écrits des associations auxquelles tu participes ; quand tu mets tout ton cœur à relire le livre d'une écrivaine, tu te dis que tu as un goût prononcé pour fouiner, vérifier, corriger, aider... Et ce côté grisant et enrichissant de la correction, j'ai eu envie de le légitimer par une formation afin d'acquérir les méthodes et les outils, valoriser et améliorer mes compétences.
Ma formation
Pour être une lectrice-correctrice, il ne suffit pas d'être bonne en orthographe, une formation est vraiment nécessaire pour étudier les différentes règles orthographiques, grammaticales et typographiques, pour acquérir des automatismes comme la vérification systématique des noms propres, pour vérifier la cohérence du texte et d'un point de vue déontologique nous rappeler de respecter les propos et le style de l'auteur. Certifiée par le Centre d'Écriture et de Communication (CEC) en tant que lectrice-correctrice, je suis également certifiée du module réécriture renforcée. Ainsi, je peux exercer en toute légitimité cette profession de l'ombre qui va si bien à ma personnalité !
Quand mes défauts deviennent des qualités !
Toujours en train de me remettre en question, toujours en train de douter, toujours à me questionner, voilà des défauts qui sont bénéfiques à mon métier où la vérification est constante. Méthodique, rigoureuse, opiniâtre, respectueuse des délais, curieuse, disponible, motivée, discrète font également parti de mes traits de caractère qui apportent un faire-valoir à ce métier. Mais comme tout le monde, je suis un être humain, je ne suis donc pas infaillible !
Quand ma vie me façonne
Le cheminement de ma vie m'a permis de trouver ce qui me plaisait et créer mon entreprise, La correctrice nomade pour chercher l'erreur, pour découvrir de nouveaux sujets. De ma carrière d'inspecteur de police avortée dès mes quinze ans pour cause de taille réglementaire non atteinte, je me suis dirigée vers des études universitaires pour fouiner dans les bibliothèques et les archives, en particulier pour mon mémoire sur la dîme lors de mon année de maîtrise d'histoire médiévale. Puis l'amour m'a entraînée vers ma première expatriation (Belgique) et dans une carrière dans l'assurance. Là encore, je passe mes journées à fureter dans les conditions particulières pour déterminer si le client est couvert lors d'un sinistre. Et enfin mon envie de découverte est comblée grâce à mon expatriation en Afrique du Sud, à Singapour ou encore au Kenya.